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boys will be boys

À nos amis, On vous écrit aujourd'hui à la suite de nombreuses discussions, réflexions personnelles et communes, qui suscitent des émotions et des tensions contradictoires: voilà, on vous aime mais vous nous faites chier, des fois. On vous écrit aussi, à la place de vous parler - et ce, pour différentes raisons. La principale annonce l'essence de notre critique, elle concerne cette difficulté de créer des espaces de communication et de réflexions critiques (avec vous) dans lesquelles on se sent safe et crédibles.

Commençons ce qui suivra

Voici un texte publié avec à la fois un sentiment d'urgence celle de fournir une compréhension de la situation qui est la nôtre, d'affronter une pensée au système électoral et de sérénité.
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boys will be boys

À nos amis, On vous écrit aujourd'hui à la suite de nombreuses discussions, réflexions personnelles et communes, qui suscitent des émotions et des tensions contradictoires: voilà, on vous aime mais vous nous faites chier, des fois. On vous écrit aussi, à la place de vous parler - et ce, pour différentes raisons. La principale annonce l'essence de notre critique, elle concerne cette difficulté de créer des espaces de communication et de réflexions critiques (avec vous) dans lesquelles on se sent safe et crédibles.

Acte XVIII, Paris brûle – Aux camarades du «Québec»

Le rendez-vous du 16 mars circulait depuis plus d’un mois. À la fin du grand débat national annoncé pour calmer le jeu, les gilets jaunes de partout allaient converger à Paris pour renouer avec la tactique qui avait forcé le gouvernement à faire des semblants de concessions au début du mois de décembre : ravager les beaux quartiers, montrer que les forces de police sont incapables de faire face au niveau d’organisation tactique du mouvement, prouver que la bourgeoisie n’est pas en sûreté, même dans ses retranchements.
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Destituer le travail

Le monde n'a pas besoin d'une, de deux ou de quatre-vingts réformes de plus: ce dont il a besoin, c'est d'être reviré de bord, crissé par terre pis réinventé en fonction de ce qu'on aura mis en place pour le détruire. Pour nous c'est impensable que l'on puisse patenter quoi que ce soit avec la pourriture actuelle, alors mettons tout de suite au clair que ce ne sera pas l'objectif du présent texte. Ça nous intéresse pas du tout de nous positionner sur un spectre politique qui passe d'un débat sur le pourcentage qu'on devrait prendre aux riches à la collectivisation des moyens de production. Ce monde doit devenir vraiment autre chose que sa version collectivisée.

Quand je pense à mon enfance, je pense à ma mère. À tout ce qu’elle représente de force et de résilience. Je sais que,...
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Mondes à détruire, mondes à créer

Mais ça pète jamais. Parce qu’on nous propose toujours les mêmes vieilles solutions. Celles qui changent si peu de choses qu’au fond rien ne change, et c’est justement pour ça qu’elles sont proposées. Business as usual. On nous noie sous une tonne de micros projets plus futiles les uns que les autres, qui nous font oublier la panique qui nous prend parfois. Et le monde continue de tourner et le cash de rentrer. Sauf que c’est ça le fond du problème, c’est le cash.
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Féministes, c’est-à-dire contre le travail

Nous croyons que si l’on souhaite initier un mouvement social décentralisé et vivant, il est nécessaire d’établir un climat où la critique est permise, où les discours divergents ne sont pas automatiquement reçus comme anti-féministes et où les initiatives et actions émanant d’autres groupes ne sont pas systématiquement taxées de récupération.

Autonomes, donc contre le travail!

La lutte pour la rémunération des stages doit être une lutte contre le travail. Recevoir un salaire en échange de son temps de stage permet avant tout de ne pas avoir à travailler deux fois plus pour pouvoir assurer ses besoins.
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